Dans une période où de plus en plus de solutions sont censées tout faire, certains acteurs de la Comptatech choisissent au contraire de se concentrer sur une fonctionnalité ou un besoin pour proposer la meilleure solution possible.
Alors êtes vous plutôt « all in one » ou « best-of-breed » ?
Ces dernières années, une multitude de nouvelles solutions à destination des entreprises et des experts-comptables ont vu le jour : saisie et révision, reconnaissance automatique, gestion de la paie, tableaux de bords, plateformes d'échange, gestion des notes de frais, calcul de bilan carbone, prévisionnel de trésorerie,... la liste ne cesse de s'allonger !
Dans ce contexte, certains éditeurs ont fait le choix d'intégrer progressivement de nouvelles fonctionnalités à leurs offres, en proposant des solutions toujours plus complètes. Les logiciels de production comptable intègrent désormais des fonctionnalités de reconnaissance automatique, les solutions de paie produisent des tableaux de bord, les Ged s'ouvrent pour proposer de l'échange de fichiers,... au point qu'il devient parfois difficile de comprendre qui fait quoi.
Il est vrai que l'idée d'une solution « tout-en-un » incluant l'ensemble des fonctionnalités dont aurait besoin une entreprise pour gérer son système d'information comptable peut faire rêver. Dans cette quête, les utilisateurs recherchent d'abord de la simplicité : dans la relation commerciale bien s»r, avec un interlocuteur unique, mais aussi dans la formation des équipes et l'utilisation quotidienne du produit. Pourtant, dans la pratique, l'utilisation de telles solutions s'avère souvent plus compliquée.
Le risque du tout-en un
Sur le plan commercial tout d'abord, rares sont les entreprises qui utilisent toutes les fonctionnalités d'une solution intégrée. La probabilité de payer des fonctionnalités non-utilisées ou sous-utilisées est donc forte.
Plus « monolithiques », les solutions toutes-en-un offrent souvent des niveaux de personnalisation plus faibles, car elles ne sont pas pensées, par définition, pour s'ouvrir largement sur d'autres outils. Enfin, et c'est sans doute là la plus forte objection à opposer aux solutions toutes en un : les différents modules d'une solution tout-en-un sont rarement, pris isolément, les meilleurs de leur catégorie.
Les avantages de la spécialisation
Les éditeurs de solutions spécialisées, au contraire, développent des compétences très spécifiques dans un domaine donné. Ils analysent le marché, réalisent des investissements, construisent des stratégies au service d'un besoin client précis. Avec le temps, ils développent aussi un capital relationnel inestimable. Cela inclut notamment une connaissance fine de l'activité des clients, la confiance d'un marché ou un réseau d'utilisateurs et de partenaires.
Ces atouts permettent de créer des solutions pointues, mais destinées à devenir les meilleures dans leurs domaines. Concentrant la totalité des ressources de l'éditeur, elles sont souvent plus personnalisables, avec une expérience utilisateur plus travaillée, et plus interopérables. Pourquoi ? Parce que n'étant pas la prétention de tout faire, elles sont nécessairement conçues dès le départ pour interagir avec d'autres outils, d'autres flux de données.
Best-of-breed et interopérabilité, les clés d'un système efficace
C'est ce qu'on appelle l'approche « best-of-breed » : choisir la meilleure solution dans chaque domaine pour bénéficier des dernières innovations technologiques dans chaque fonctionnalité, avec la certitude de ne pas payer des « briques » qui resteront inutilisées.
C'est l'approche choisie par Libeo, qui s'est fixé une seule mission : simplifier la vie des entrepreneurs en leur permettant de payer et d'encaisser facilement leurs factures. L'équipe regroupe expertises humaines et compétences techniques mises au service de cet unique objectif. C'est ce qui permet de disposer des moyens suffisants pour développer des technologies innovantes, comme le paiement sans IBAN. C'est enfin ce qui fait de Libeo la première plateforme de paiement entre entreprises, utilisée par plus de 150 000 d'entre elles.