Citation : Ptitpo2 @ 18.10.2011 à 07:28 Bonjour à tous, pour la société famili j ai fait comme pas mal d'entre vous c'est à dire, cours de cloture pour tous les éléments d'actifs et de passifs.
cours moyen pour le résultat et puis pour les réserves je n'ai pas fait comme vous. je vous explique :
pour réserves N-3 j ai considéré que c'est grace au résultat de N-3 qu'on les a "obtenues" et donc qu'on les ai affecté en mai N-2 par exemple. donc pour les réserves N-3 j'ai utilisé le cours moyen entre N-3 et -2. idem pour réserves N-2 (cours N-2 + cours N-3)/2... je ne sais pas si c est logique du coup mon écart de conversion vient diminuer mes capitaux propres moi....
pour le GW, j ai retraité les DAP de 3000 également mais aussi les Charges exceptionnelles et l'IS. j ai donc recalculé mon résultat net d'IS après retraitement et j'obtenais 21 000 en B. le "r" j ai pris 13,7% et le A c'était les CPNE ou j'avais trouvé 227 000. (j ai supposé que le bfr qu'il nous donnait concernait entièrement l''exploitation)
j ai également trouvé le sujet "fouilli"
bonne journée,
Bonjour, il me semble que si la filiale est autonome : résultat au cours moyen, comptes de bilan au cours de cloture et capital au cours historique. en ce qui concerne les réserves, elles sont à calculer au cours moyen de chaque exercice pendant lequel elles ont été formées. c'est pour cela que l'on avait les données pour chaque année. mais je me trompe peut-être... bon courage pour ceux qui passent l'UE1 cet aprèm.
et bien moi je me suis faite avoir pour Famili parce que comme nous n'avions que le bilan et bien j'en ai déduit que la conversion était à faire au cours historique !
C'est quoi l'intéret de faire un sujet pareil franchement ? Plutot que de nous mettre devant des cas pratiques et réalistes ils parsèment les sujets de pièges et d'hypothèses ... nul
Demain gestion et info, si vous avez des conseils je suis preneuse (sur le fonds la forme) parce qu'il faut vraiment que ça rattrape les épreuves d'hier
J'ai vérifié dans mes ouvrages le résultat n'est jamais converti que ce soit par la méthode du cours de clôture ou par la méthode du cours historique, il est obtenu soit par différence dans le compte de résultat, soit par différence dans le bilan. Le sujet est donc faux, aucune des deux méthodes ne pouvait être appliquée
J'ai également passé l'épreuve de Comptabilité. Il m'est apparu que le sujet est quand même plus "simple" qu'auparavant: quand on compare 2008, puis 2009, puis 2010, on se rend compte que l'épreuve est plus simple qu'auparavant! (du moins, c'est ce que j'en ai pensé). Par contre pas mal de petits pièges à mon avis... A discuter
Dossier 1: Conso SAS TASSE, dont on détient 5 titres sur les 100; pour moi, c'est une société ad hoc, car elle a pour objet la gestion d'une activité de la Mère. De plus, la mère supporte une partie du risque (caution bancaire). cela signifie t-il qu'elle est en contrôle exclusif? (surtout que les autres actions sont détenue par Madame RENEE)
Les retraitements de conso: trop nombreux! Entre éliminations de marges en stocks, entretien pour grosses révisions ... C'était pas très clairement formulé!
Dossier 2: Fusion Même problème que vous autre pour le taux pour le Goodwill. Autrement le reste du sujet de fusion était très abordable je trouve (dont questions identiques à celles de l'année dernière sur la méthode de valorisation des apports) Je suis parvenu à faire l'intégralité du sujet (hormis pour le taux à appliquer au goodwill)
Dossier 3 CAC C'est vrai que les questions pouvaient être vaches, mais c'est vrai que j'ai la chance de travailler en CAC depuis 2 ans, alors cette partie m'a paru assez simple en fin de compte. Pour le seuil de la SAS: 1000k¤ de Bilan, 2000k¤ de résultat et 50 salariés; la société ne les dépasse pas. Néanmoins, il me semble qu'une SAS déténue par une société mère ou qui détient une filiale doit avoir un CAC, NON?
La question concernant l'acceptation de Mandat; il fallait se référer à l'annexe (pas compliquer à priori)
Anomalies significatives: Les impacts peuvent être sur la première partie du rapport (sur la certification: avec réserves ou refus de certifier selon l'importance de l'anomalie significative). Cela devra être justifiée dans la seconde partie concernant les appréciations. LA troisième partie n'est à priori pas concerné (car elle traite des vérifications spécifiques).
Évènement postérieur: j'ai mis qu'il fallait faire un rapport spécifique à communiquer à l'AG (autre mission du CAC, rapport "Communication").
LME: question un peu vache en effet pour ceux qui ont pas fait d'audit... Je vous donne ce que je pense pourrait constituer la réponse: l'application de la LME a eu pour incidence au niveau de l'entreprise la publication obligatoire de l'éclatement de l'encours fournisseur à la date de clôture par date échéance (par exemple, si l'encours fournisseurs est de 100 au 31/12, on l'éclatera de la manière suivante: 50 qui seront à payer entre 0 et 30j, 20 entre 30 et 45j...). cette information doit figurer, avec un comparatif N-1, dans le rapport de gestion.La mission de certification du CAC passe par une étape de vérifications spécifiques, dont le rapport de gestion. Par conséquence, le CAC doit mettre en place les diligences nécessaires afin de valider cette informations. En cas d'erreurs non rectifiées / absence d'informations, il fera une remarque dans al 3ème partie de son rapport. Je pense que c'est à peu près ce qu'on pouvait dire (et encore une fois, ce n'est que mon avis^^)
DDL: diligences directement liées. Il s'agit des diligences qui ne font pas partie de la mission de certification des comptes. (exemple: votre client vous demande d'attester des covenants bancaires). En d'autres termes, le CAC peut être amené à attester toute information de nature comptable et financier (rapport à part; d'ailleurs, les DDL signifie souvent honoraires en plus par rapport à la certification des comptes). Le référentiel applicable sont les NEP: en effet, 3 NEP (de mémoire) décrivent de manière très exhaustive l'ensemble des DDL que le CAC peut accomplir. Avec en fond bien entendu, le reste de la doctrine de CAC (déontologie...)
Pour la société TASSE j ai également mis que c'était une entité ad hoc car réunissait deux des trois critères, je l'ai donc mise en CE.
concernant les retraitements idem, formulation peu lisible.j ai éliminé les marges sur stocks, j ai voulu retraiter les ventes/achats et comptes clients/fournisseurs mais comme les montants n'étaient pas les même chez la mère et la fille j'ai longuement hésité, puis j ai décidé d'éliminer ces comptes à hauteur de ceux chez le vendeur comme spécifié dans le manuel de conso de l'entreprise. pour le retraitement grande révision je suis dubitative car dans mon écriture du bilan j avais au débit 150000 pour le composant plus 75 000 pour annuler ma dotation provision grande révision et au crédit 75 000 d amortissement pour le composant grande révision, j'ai donc équilibré avec 150 000 de réserves. je ne voyais pas comment faire autrement, si quelqu'un a la solution ?
Dossier 3
les seuils ne sont effectivement pas dépassés mais une sas doit également avoir un CAC si elle contrôle ou est contrôlée ( ce qui est le cas ici) la question 2 sur les incompatibilités, j'y ai répondu sans les annexes, je pense que cela fait partie du cours et que les annexes n'étaient pas indispensables (au début sans les avoir lues je pensais même qu'elles servaient à répondre aux questions suivantes) LME je ne savais pas du tout donc j ai essayé d être logique. j ai trouvé cela difficile tout de même.
Les DDL je ne les avais pas vu en cours mais je me doutais que le référentiel serait les NEP donc c'est le seul trucs que j'ai mis. je ne sais pas s'ils peuvent donner les points même si on met que NEP ?
Dans l'ensemble je m'attendais tout de même à pire, la veille je m'arrachais encore les cheveux sur les variations de pourcentage d'intéret !
Citation : Mat_thebat @ 18.10.2011 à 12:35 Bonjour à tous,
J'ai également passé l'épreuve de Comptabilité. Il m'est apparu que le sujet est quand même plus "simple" qu'auparavant: quand on compare 2008, puis 2009, puis 2010, on se rend compte que l'épreuve est plus simple qu'auparavant! (du moins, c'est ce que j'en ai pensé). Par contre pas mal de petits pièges à mon avis... A discuter
Dossier 1: Conso SAS TASSE, dont on détient 5 titres sur les 100; pour moi, c'est une société ad hoc, car elle a pour objet la gestion d'une activité de la Mère. De plus, la mère supporte une partie du risque (caution bancaire). cela signifie t-il qu'elle est en contrôle exclusif? (surtout que les autres actions sont détenue par Madame RENEE)
Les retraitements de conso: trop nombreux! Entre éliminations de marges en stocks, entretien pour grosses révisions ... C'était pas très clairement formulé!
Dossier 2: Fusion Même problème que vous autre pour le taux pour le Goodwill. Autrement le reste du sujet de fusion était très abordable je trouve (dont questions identiques à celles de l'année dernière sur la méthode de valorisation des apports) Je suis parvenu à faire l'intégralité du sujet (hormis pour le taux à appliquer au goodwill)
Dossier 3 CAC C'est vrai que les questions pouvaient être vaches, mais c'est vrai que j'ai la chance de travailler en CAC depuis 2 ans, alors cette partie m'a paru assez simple en fin de compte. Pour le seuil de la SAS: 1000k¤ de Bilan, 2000k¤ de résultat et 50 salariés; la société ne les dépasse pas. Néanmoins, il me semble qu'une SAS déténue par une société mère ou qui détient une filiale doit avoir un CAC, NON?
La question concernant l'acceptation de Mandat; il fallait se référer à l'annexe (pas compliquer à priori)
Anomalies significatives: Les impacts peuvent être sur la première partie du rapport (sur la certification: avec réserves ou refus de certifier selon l'importance de l'anomalie significative). Cela devra être justifiée dans la seconde partie concernant les appréciations. LA troisième partie n'est à priori pas concerné (car elle traite des vérifications spécifiques).
Évènement postérieur: j'ai mis qu'il fallait faire un rapport spécifique à communiquer à l'AG (autre mission du CAC, rapport "Communication").
LME: question un peu vache en effet pour ceux qui ont pas fait d'audit... Je vous donne ce que je pense pourrait constituer la réponse: l'application de la LME a eu pour incidence au niveau de l'entreprise la publication obligatoire de l'éclatement de l'encours fournisseur à la date de clôture par date échéance (par exemple, si l'encours fournisseurs est de 100 au 31/12, on l'éclatera de la manière suivante: 50 qui seront à payer entre 0 et 30j, 20 entre 30 et 45j...). cette information doit figurer, avec un comparatif N-1, dans le rapport de gestion.La mission de certification du CAC passe par une étape de vérifications spécifiques, dont le rapport de gestion. Par conséquence, le CAC doit mettre en place les diligences nécessaires afin de valider cette informations. En cas d'erreurs non rectifiées / absence d'informations, il fera une remarque dans al 3ème partie de son rapport. Je pense que c'est à peu près ce qu'on pouvait dire (et encore une fois, ce n'est que mon avis^^)
DDL: diligences directement liées. Il s'agit des diligences qui ne font pas partie de la mission de certification des comptes. (exemple: votre client vous demande d'attester des covenants bancaires). En d'autres termes, le CAC peut être amené à attester toute information de nature comptable et financier (rapport à part; d'ailleurs, les DDL signifie souvent honoraires en plus par rapport à la certification des comptes). Le référentiel applicable sont les NEP: en effet, 3 NEP (de mémoire) décrivent de manière très exhaustive l'ensemble des DDL que le CAC peut accomplir. Avec en fond bien entendu, le reste de la doctrine de CAC (déontologie...)
Voila,
Cordialement
"our le seuil de la SAS: 1000k¤ de Bilan, 2000k¤ de résultat et 50 salariés; la société ne les dépasse pas. "
je crois que c'est plutôt:
bilan : 1 million CA HT: 2 millions nombre de salariés: 20