Bonsoir à toutes et à tous,
Dans le cas où une lettre de change à échéance postérieure à la clôture est escomptée avant la clôture de l'exercice (besoin de trésorerie) et que le débiteur informe le tireur de ses probables difficultés de règlement, que faire ?
Car on ne peut déprécier une créance sortie du compte 41 donc du bilan...
Peut-on se contenter d'une information dans l'annexe (en complément des "effets remis à l'escompte et non échus") ou doit-on provisionner (provisions pour risques) le risque de perte (car à l'échéance le banquier se retournera contre le tireur, solidaire du paiement de la lettre de change) ?
Dans le respect du principe de prudence et de celui d'indépendance des exercices, je penche pour l'option provision.
Qu'en pensez-vous svp ?
Merci