WebTV n°159 du lundi 9 avril 2018

Le métier de Chief Happiness Officer

Le métier de Chief Happiness Officer est un nouveau métier qui arrive de plus en plus dans les entreprises.

Ce métier consiste à s'occuper des salariés de l'entreprise, d'être à leur écoute pour améliorer leurs conditions de travail, la cohésion d'équipe et la satisfaction des employés.

Afin de devenir Chief Happiness Officer, il est important de posséder de nombreuses qualités telles que l'empathie, la discrétion, l'amabilité, et bien d'autres.

En effet, les principales tâches de ce métier consistent à trouver des solutions appropriées, organiser des événements internes, veiller à la convivialité des espaces de travail.

 

Devenir expert-comptable aux États-Unis

Peut-on devenir expert-comptable aux États-Unis avec un DSCG ou un master CCA ? La réponse est bien sûr un grand oui, à condition de respecter une procédure spéciale. Pour devenir CPA, il faut satisfaire trois conditions. Ces conditions sont l'éducation, la réussite à l'examen et l'expérience professionnelle.

S'il n'existe pas d'équivalence entre les diplômes français et américains, le DSCG, master CCA ou le DEC permettent de satisfaire la première condition et de s'inscrire à l'examen. 4 épreuves de 4 heures sont obligatoires, y compris pour les diplômés étrangers.

Certains États américains acceptent l'expérience professionnelle réalisée hors des États-Unis. À découvrir dans l'article de Sophie Ged, expert-comptable français et CPA.

 

L'impact du CICE sur les comptes d'une société à l'IS

Le crédit d'impôt compétitivité emploi ou CICE est comptabilisé uniquement dans les sociétés à l'IS ou impôt sur les sociétés. Il est alors comptabilisé au crédit d'un compte 64. Souvent un compte 649 ou un compte 6459 appelé CICE.

Comptabilisé au crédit d'un compte de charges, il augmente le résultat comptable et diminue les charges de personnel. Fiscalement, il n'est pas imposable. Il vient simplement diminuer l'impôt sur les sociétés à payer.

Le CICE est donc déduit du résultat fiscal et apparaît sur la liasse fiscale des sociétés à l'IS. Lorsqu'il est supérieur à l'impôt à payer, les TPE/PME peuvent en demander le remboursement.

Ce crédit d'impôt doit disparaître en 2019. Il est remplacé par une diminution des charges patronales sur les salaires.